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22 mai 2014 4 22 /05 /mai /2014 09:33

100 2429Un lieu aisé à trouver se situant au 1196 boulevard de la mer, si vous venez de Saint raphaël, il suffit de suivre le bord de mer, traverser Port Fréjus et à sa sortie traverser le rond-point. Sinon prendre le boulevard de la mer, le suivre jusqu'au bout en direction de la mer puis arrivé au rond-point, tournez à gauche. Plan du site: link

Jusqu'au milieu des annés 90 ce lieu était une base aéronavale, heureusement transformé en aire naturelle et de loisir. Tout les aménagements pour le sport, les loisirs (non pétaradant, bien sûr) s'y trouvent: Skate park, boulodrome, terrain de football, basket, etc... Une partie des pistes est goudronnée et donc idéal pour la pratique du roller. De plus, sur toute la base, il n'y a pratiquement pas de dénivellés, ce qui rend la balade accessible aux personnes à mobilité réduite. La plage est d'ailleurs labellisé "Tourisme et handicaps" et "handiplage": link.

Mais c'est aussi un lieu remarquable pour les observations naturalistes de par la diversité de ses écosystèmes. Ainsi en 100 2957suivant la piste longeant la plage, on passe devant une zone marécageuse à l'eau saumatre où l'on peut observer différents oiseaux aquatiques. Une fois ce marécage dépassé, tournez à droite pour vous retrouver entre deux haies naturelles (photo ci-dessous à gauche), un autre écosystème très riche. Ensuite vous arriverez devant une grande prairie, zone qui occupe la plus grande partie de la base. Lorsqu'elle n'est pas fauchée, elle permet de faire d'interressantes observations de fleurs et d'insectes. En vous rendant dans le bois proche essayez de repérer la perruche à collier dont une importante colonie s'est implanté ici, pour cela, relevez vite la tête en direction de cris d'oiseaux inhabituels. Une fois dans le bois, vous avez la possibilité de suivre le cour d'eau du Reyran, et d'y observer des oiseaux aquatiques. Suivez le bois en direction de l'autre extrémité de la base, vous y trouverez une petite rivière bordé tout le long de la base nature par une butte. Lorsque vous la longerez observez bien son sommet et vous aurez peut-être la chance d'y observer des poules d'eau en train de picorer dans les herbes. Cette butte est ceint par un enclos à l'intérieur duquelle vivent trois ânes. Les matinées de printemps, vous aurez sûrement la chance de voir les hirondelles virevolter en rase-motte au dessus des herbes afin de chasser leurs proies (photo du bas), la plupart nichent au centre commercial proche. En automne/hiver je recommande de venir en fin d'après midi lorsque le jour décline, on peut alors observer des oiseaux se regrouper par espèces dans la prairie. Tôt le matin, on peut avoir la chance d'observer sangliers et chevreuils dans le bois. De nombreux lapins peuplaient la base, néanmoins une épidémie de myxomatose les a décimés récemment.

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15 mai 2014 4 15 /05 /mai /2014 20:08

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De Kip Anderson et Keeghan Khun.

Comme l'indique ce documentaire qui va bientôt sortir: There is one single industry destroying the planet more than any other. But no one wants to talk about it... En Français: Il y a une industrie qui détruit plus la planète que n'importe quelle autre. Mais personne n'en parle... Il est bien sûr question de l'élevage, de l'industrie de la viande responsable en grande partie de la pollution, de la déforestation, des rejets de gaz à effet de serre. Qui s'accapare pour fonctionner d'énormes quantités de terres, d'eau, de céréales. Rare sont les personnes qui osent en parler, tel la majorité des personnes qui critiquent le système et qui préfère ignorer hypocritement les évidences, les preuves pour la seule raison qu'ils aiment manger de la viande... Des personnes qui souvent sont prêtes à croire n'importe quel complot, à se révolter contre les multinationales, les politiques et autres lobbies, à affirmer haut et fort qu'il faut changer de mode de consommation, etc.. Mais lorsqu'on touche à leur plaisir de manger de la viande, alors là on nie tout. Avec des personnes comme ça, le monde n'est pas prêt de changer. Alors bien sûr même si l'alimentation carnée dans le monde est en constante augmentation, des pays ne surconsomment pas de viande comme cela est montré dans les nombreuses émissions de cuisine diffusées à la télévision où le moindre repas ne peut être envisagé sans viande ou poisson, les légumes y étant considérés comme de vulgaires accompagnements. Néanmoins de puissants lobbies se mettront en action pour qu'ils adoptent notre mode de consommation en cas d'essor économique. Cela a été notamment le cas de la Chine et de l'Inde où la consommation de viande à explosé. Ci-dessous un commentaire de Paul Watson où il explique la face caché de notre société et cite ce film:

« V »


V comme Vérité, Vertu, Valeur, Validité et Véganisme

 

Le véganisme, c’est l’écologie véritable en action.
Il démontre la vertu et le courage d’un écologiste qui affronte et dénonce la vérité la plus dérangeante qui soit.
Sea Shepherd est l’une des très rares organisations de protection des océans au monde à promouvoir et pratiquer activement le véganisme – voire la seule.

Pourquoi ? Parce que nous voyons les relations qui existent entre l’élevage et la pollution des océans, l’appauvrissement de la vie dans les mers, la destruction des forêts pluviales et le réchauffement climatique.
Le véganisme, c’est l’écologie véritable en action. Il va au-delà des débats sur le réchauffement climatique et l’appauvrissement de la biodiversité, et il fait réellement quelque chose pour régler les problèmes.
Les navires Sea Shepherd sont végans depuis 2002, et avant cela, il y a toujours eu des options végans. Les navires étaient végétariens dès 1979.

Cependant Sea Shepherd n’est pas une organisation végan ou végétarienne, ni une organisation de protection des animaux ou de leurs droits. Nous sommes un mouvement de protection de la faune sauvage des océans et des écosystèmes marins.

Alors pourquoi tous les repas servis à bord des navires Sea Shepherd sont-ils végans ?

La réponse, c’est parce que le végétarisme, et surtout le véganisme, sont des alternatives puissantes à la destruction des océans qui sont dévorés vivants par huit milliards d’êtres humains et leurs animaux domestiques.

La diversité dans nos océans s’appauvrit chaque jour un peu plus, et quand la diversité s’effondre, c’est au tour de l’interdépendance entre les espèces de s’effondrer, avec comme résultat la mort de l’océan.

Et un océan mort signifie la mort de toutes les créatures, quelle que soit leur taille, car si les océans meurent, nous mourrons tous. L’océan est le cœur de la planète, et il est la base de la vie, sur terre comme dans la mer.

Impitoyablement, nous pratiquons dans l’océan une pêche excessive, et bien souvent en toute illégalité. Toutes les activités de pêche commerciale dans le monde sont virtuellement au bord de l’effondrement. Nous polluons l’océan avec du plastique, des produits pétrochimiques, les ruissellements agricoles et nos eaux usées. Nous lui infligeons de l’acidification, de la pollution sonore, et nous détruisons les écosystèmes côtiers pour notre développement.

La position de Sea Shepherd, c’est qu’il faut fermer toutes les entreprises de pêche commerciale pour donner aux poissons une chance de récupérer. La seule pêche relativement « durable », c’est celle des artisans pêcheurs travaillant depuis de très petits bateaux à partir des petits ports d’Inde, d’Afrique, etc.

Il faut supprimer les grandes sociétés, les grands chalutiers, les senneurs, les palangriers, les grosses machines, les grands filets, les lignes de grande longueur et les navires usines si nous voulons sauver nos océans.
Mais qu’est-ce que cela a à voir avec le fait de manger un hamburger, des œufs au bacon ou du poulet ? Ces créatures ne vivent pas dans la mer.

Pourtant c’est bien de la mer qu’elles tirent leur subsistance. Tout comme nous, ce sont des êtres terrestres qui tous ensemble dévorent la mer vivante, et ils le font contre leur volonté, pour le bénéfice de la créature la plus destructrice à s’être jamais aventurée dans l’océan – l’homo sapiens.

Un tiers de toute la vie marine capturée par l’industrie de la pêche est appelée « poisson fourrage » et on l’extrait de la mer dans le seul but de nourrir les porcs, les poulets, les visons, les renards, les saumons d’élevage, et les chats domestiques. En fait, les poulets mangent plus de poisson que les albatros, les porcs mangent plus de poisson que les requins, et les chats domestiques mangent plus de poisson que tous les phoques de la mer.

Il y a 1,5 milliard de vaches sur la planète, 1,2 milliard de moutons, plus d’un milliard de porcs, un demi-milliard de chiens, et 2 milliards de chats de race ou de gouttière.
Dix pour cent du poisson fourrage sert à nourrir les chats. Cinquante-cinq pour cent sert à nourrir les porcs, le reste va aux poulets, aux visons, aux renards, et aux saumons des fermes d’élevage.

Il y a 2 milliards de chats et un demi-milliard de chiens dans le monde, et moins de cinquante millions de phoques dans la mer. Il y a 18,6 milliards de poulets dans le monde, bien plus que tous les oiseaux de mer.

Lorsque vous mangez du poulet, vous mangez peut-être du poisson. Lorsque vous mangez du bacon, vous mangez peut-être du poisson. Lorsque vous buvez du lait ou que vous mangez des œufs, vous consommez peut-être de la faune sauvage marine.

Les pêcheurs se plaignent que les phoques mangent tout le poisson, Rien qu’aujourd’hui, il y avait 38 lions de mer dans le fleuve Columbia, et plus de 500 pêcheurs à la ligne avec leurs cannes à pêche sur la berge, mais c’est sur les lions de mer que le gouvernement tirait, parce qu’ils « mangent le poisson ».

Et en plus de tout cela, vous avez le fait que l’élevage animal produit plus de gaz à effet de serre que l’industrie du transport. Si vous prenez en compte qu’il faut 13000 litres d’eau pour produire un kilo de viande de boeuf, ce gaspillage est tout simplement inacceptable.

C’est pour cela que Sea Shepherd a décidé, il y a des années de cela, que promouvoir le véganisme c’était mettre en pratique les bons principes éthiques de l’écologie.
Entre 2003 et 2006 j’étais directeur national du Sierra Club aux USA. Toutes mes tentatives de traiter l’impact environnemental de l’élevage animal ont été non seulement rejetées, mais moquées. Le Sierra Club a refusé tout net d’aborder le sujet de la croissance de la population humaine et de l’augmentation de la consommation de produits issus de l’élevage industriel comme facteurs significatifs du réchauffement climatique et de la destruction des écosystèmes.
Pourquoi ?

Pour la même raison que celle pour laquelle Greenpeace, Conservation International et d’autres grandes organisations environnementales ignorent délibérément la vérité très dérangeante qui est que manger des animaux produit plus de gaz à effet de serre que toute l’industrie du transport. Même Al Gore a commodément négligé de mentionner ce fait très important dans son documentaire, « Une vérité qui dérange ».

Pourquoi n’en a-t-il pas parlé, et pourquoi les grandes organisations refusent-elles de simplement aborder le thème de la relation entre le fait de manger de la viande et le réchauffement climatique ?

C’est parce qu’elles ne veulent pas contrarier leurs donateurs. Leur grande crainte, c’est que cela leur aliènera leur base de donateurs.

Et ils ont probablement raison. Sea Shepherd a perdu le soutien de gens qui mangeaient de la viande, parce que notre message les avait irrités. Mais la différence entre Sea Shepherd et ces grandes organisations dans le déni, c’est que nous, nous voulons sauver nos océans et notre planète, même si ça dérange certaines personnes.
Le changement naît de l’action, pas des paroles. J’ai démissionné du comité de direction du Sierra Club parce que l’organisation environnementale la plus ancienne du pays, dont le fondateur, John Muir, était végétarien et anti-chasse, est maintenant pro-chasse et pro-élevage. Quand j’en suis parti, je les ai surnommés « Siesta Club Hunting and Conversation Society ».

On ne sauvera pas la planète rien qu’en restant moins longtemps sous la douche, en recyclant nos déchets ou en conduisant une voiture électrique. Il faut un sacré nombre de douches courtes pour compenser les 13000 litres d’eau qu’il faut pour produire un kilo de viande de boeuf. 
En réalité, un végan qui roule en gros 4x4 sur l’autoroute contribue moins à la création de gaz à effet de serre qu’un mangeur de viande qui se déplace à vélo.

L’industrie de la viande consomme plus d’eau que toute autre industrie sur la planète. Elle occupe plus de surface de sol. Elle produit plus de déchets. C’est elle qui produit le plus de gaz à effet de serre, particulièrement du méthane.
Il y a un nouveau documentaire qui vient de sortir, intitulé « Cowspiracy », qui enquête sur les contradictions au sein des grandes organisations environnementales qui refusent de soulever et de prendre au sérieux la question des relations entre l’industrie de la viande et les niveaux croissants des gaz responsables du réchauffement climatique.

Les réalisateurs traitent d’un sujet interdit, et mettent en évidence ce problème qui crève les yeux mais que les grandes organisations écologistes refusent délibérément de voir. Dans le film, on voit que Greenpeace n’accepte même pas de rencontrer les réalisateurs pour discuter du projet. Les réalisateurs se sont rendus aux bureaux de Greenpeace après que ceux-ci ont refusé de répondre à leurs e-mails, mais tout ce qu’on leur a dit, c’est que Greenpeace n’était pas intéressé par les discussions sur la relation entre la consommation de viande et le réchauffement climatique.
D’un côté, Greenpeace critique et réprouve ceux qui contestent le réchauffement climatique, et cependant ils choisissent de rester dans le déni du facteur qui contribue le plus au réchauffement climatique global.

Le client de McDonald en train de manger son Big Mac en portant un t-shirt Greenpeace est plus important pour les intérêts particuliers de Greenpeace que la résolution d’un problème contre lequel ils font campagne.
Les déjections porcines polluent de grandes étendues de nappes phréatiques, mais aucune de ces grandes organisations environnementales ne pointe du doigt le fait que manger du jambon soit la source du problème.
J’ai été élevé dans un village de pêcheurs, et nourri de homard, de poisson, de coquillages et d’algues. J’ai constaté la diminution constante de la vie marine depuis mon enfance, et ce que j’ai vu est effrayant. L’an dernier, j’ai consacré plusieurs mois à l’étude de la Grande Barrière de Corail en Australie, qui est en train de mourir. J’ai passé des mois à ramasser des déchets de plastique sur les îles Tonga et Samoa. Mon souci, c’est que l’océan est maintenant au bord du désastre.

Je prends au sérieux ce que j’ai vu, tout comme je prends au sérieux les changements du temps et la destruction des forêts pluviales. Alors quand je vois une des causes majeures de cette destruction et du réchauffement climatique, je suis d’avis qu’il faut s’en occuper, et pas l’ignorer ni la contester.

Mais être végan n’est pas une complète absolution pour ceux qui le pratiquent. C’est une contribution majeure vers une solution, mais nous ne pouvons pas ignorer le fait que la croissance des populations humaines implique plus d’agriculture industrialisée, d’engrais, de pesticides, de plastique et d’herbicides, qu’on utilise aussi bien pour l’agriculture que pour l’élevage, qui désertifient nos océans. Nous ne pouvons pas ignorer non plus les milliards d’oiseaux qui sont tués chaque année par nos chats chéris. Et tous, chaque jour, nous nous servons de sacs plastique à usage unique dont nous nous débarrassons de façon irresponsable. Nous conduisons des voitures et voyageons en avion.

En fin de compte, dès que vous avez votre certificat de naissance, vous êtes coupables de contribuer à la destruction de la planète. C’est un fait, tout simplement, et c’est ça notre péché originel, d’être nés dans un monde mené par la consommation.

Mais grâce à l’imagination, à la discipline et à la science, nous pouvons réduire notre impact sur la nature, et à mon avis le moyen le plus direct et le plus facile de le faire, c’est de prendre la décision très simple de ne plus consommer d’animaux élevés et abattus dans ces immenses abattoirs mondiaux par quantités si énormes.
Un écologiste exemplaire se nourrit de produits locaux, bio, végans.

Est-ce que cela coûte plus cher ? Peut-être, mais ce que vous mettez dans votre corps est l’investissement le plus important de votre vie. Ce n’est pas le bon endroit pour y entasser des déchets toxiques. Les crématoriums envoient déjà chaque jour des tonnes de vapeurs de mercure et d’autres produits chimiques dans l’atmosphère.

Est-ce difficile ? Oui, bien sûr. Changer vraiment, c’est toujours difficile, mais à moins d’assumer ces choix difficiles, l’avenir deviendra impossible, spécialement pour ceux qui naîtront plus tard.

Notre surconsommation d’aujourd’hui, nos abus, reviennent à voler les ressources dont auront besoin nos enfants et leurs propres enfants, qui hériteront d’une Terre pillée parce que leurs prédécesseurs ne se rendaient absolument pas compte à quel point leur façon de vivre était destructrice.

Cowspiracy est comme le souligne ses auteurs:"le film environnemental que les organisations environnementales ne veulent pas que vous regardez". 

Le sujet à déjà été abordé au journal télévisé, voir vidéo ci-dessous. Cela n'a pas fait de vague à l'instar de la date annoncé chaque année de plus en plus tôt dans les médias du dépassement planétaire ( Le jour du dépassement planétaire. ). l'augmentation continuelle de la consommation mondiale de viande est bien entendu en partie responsable du raccourcissement lui aussi continuel de cette date.

Le site du film: link. Enfin pour se préparer aux révélation de "Cowspiracy" le site viande info qui fait le tour de la question sur le désastre de la consommation humaine de viande et de poisson: link. A étudier conscensieusement et à méditer car tout les faits qui y sont révélés sont malheureusement vrai. Dans le cas contraire les auteurs de ce site site n'auraient pas manqué d'être attaqué par cette industrie procédurière... l'association L214 qui la dénonce en fait souvent l'expérience, elle se fait même attaqué alors qu'elle ne commet pas d'infraction.
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10 mai 2014 6 10 /05 /mai /2014 22:13

100_2993.JPGJe plante des végétaux sur mon balcon et dans des bacs installés devant mon100 2948 immeuble sur une épaisse couche de gravier. Et même dans ce milieux des graînes tombées hors de leurs contenants arrivent à germer... Ainsi en plus d'avoir la surprise de voir le résultat des mélanges de graînes que je sème, j'ai aussi l'émerveillement de voir des plantes pousser dans des endroits qui devraient être stérile à la vie comme sur le bord de mon balcon (photo à droite), sur les graviers (ancolie à gauche) qui s'est épanouie sur une épaisse couche de gravier entre des bacs et un mur !. Et à chaque fois les butineurs, araignées, etc... viennent profiter de ces végétaux. Quel que soit l'hostilité du milieux, il y aura toujours des végétaux qui chercheront à s'implanter, lesquels attireront la vie animale. Ne serait-ce pas là le seul miracle sur cette planète, la seule magie, l'émerveillement suprême ? La faculté qu'à ce qui est le plus précieux sur terre, la vie, de s'implanter côute que coûte afin que d'autres êtres vivants puissent s'épanouir. Même si notre espèce fait tout pour empêcher que ces êtres s'installent.

D'autres plantes apparaîssent aussi de façon surprenante ainsi sur la photo ci-dessous à gauche un fraisier s'est installé au milieu de freesias, j'en avais un dans un contenant différent, une variété ne se reproduisant pas par stolon qui à produit la graîne qui s'est installé dans cette balconnière. A coté une vue plus rapproché de l'ancolie ci-dessus.

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100 2984Pour obtenir le résultat ci-dessus à gauche, j'ai installé ce bac sur mon balcon fin septembre, j'y ai déposé une bonne couche de compost sur du terreau afin d'y faire pousser des navets et de la roquette. Je me suis vite aperçu que mon compost contenait des graînes lorsque des melons et un plant de tomate ont poussé... Les premiers ont rapidement succombé au froid mais le plant de tomate même si il ne s'est pas développé à survécu jusqu'à fin janvier tant l'hiver fut doux ! Le reste s'est développé, des graînes provenant de
plantes que j'avais fait pousser l'année dernière et que j'ai mis au compost, s'y ait ajouté des herbes sauvages. Seul le trêfle incarnat à été semé, ceci afin d'amener de l'azote pour planter des plants de tomate, je n'imaginais pas un instant que toute ces plantes se développeraient à ce point ! Et aujourd'hui il n'y a plus de place pour un plant de tomate d'autant plus que je compte laisser tout ces végétaux s'épanouir et laisser tranquille l'araignée qui a tissé sa toile là dedans comme tous les invertébrés peuplant cette mini jungle. A droite une vue de l'intérieur du bac, des lobéllias y fleurissent dans ce fouillis, au pied des autres plantes.  Ci-contre une succulente s'est installée dans le trou d'évacuation d'eau en bas à gauche de ce petit pot en suspension !

En jardinant on à toujours cette joie d'avoir la possibilité de s'émerveiller de découvertes imprévues, fascinantes et sans cesse renouvellées au fil des saisons.

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3 mai 2014 6 03 /05 /mai /2014 22:27

alemonde-drome_un-chamois-dans-la-reserve-du-grand-barry_bb.jpgMardi 22 avril une réserve naturelle d'un genre spécial a été inauguré dans la Drome grace à l'ASPAS (Association pour la Protection des Animaux Sauvages): la Réserve de Vie Sauvage du Grand Barry. Une inauguration en présence du président de cette association Pierre Athanaze et de Jacques Perrin (producteur et réalisateur entre autre de "Microcosmos", "Le peuple migrateur", "Océan"). Cette réserve est donc comme je l'ai affirmé plus haut spéciale, pour la raison suivante: il y est interdit la chasse, la pêche, l'exploitation forestière, l'élevage, etc.. une vrai réserve naturelle quoi et oui, j'ai précisé que la chasse y était interdite car contrairement à ce que beaucoup de personnes croient, la chasse est autorisée dans la majorité des parc et réserves naturel. Ainsi dans le parc des Calanques à Cassi dont j'avais signalé la création sur ce blog, on peut chasser jusqu'au coeur du parc comme dans 70 % des réserves naturelles françaises. Quand aux autres activités interdites signalées plus haut, elles sont aussi autorisé dans la majorité d'entre elles tout en affirmant qu'on y protège la nature !? Aussi grotesque: le parc national des Cévennes va même jusqu'à refuser une espèce animale chez lui : le loup. Ceci afin de protéger les bêtes des éleveurs dont on priviligit la présence dans ce soi-disant sanctuaire de la vie sauvage... Pour lutter contre ces aberrations l'ASPAS à créer son propre label intitulé "Réserve de Vie Sauvage" désignant un lieu où on protège réellement la nature. Ainsi cette association redonne une chance à la nature tant saccagé par l'homme.

Certains éleveurs d'ovins essayent de faire croire que seuls leurs troupeaux peuvent entretenir les espaces pour la biodiversité alors que bien avant l'apparition des élevages de l'homme en Europe la même biodiversité existait. Seulement on à chassé les grands herbivores qui ont été remplacé par du bétail. Parmi ces grands herbivores se trouvait l'auroch disparu en 1627 du fait de plusieurs facteurs: la chasse, des épidémie provenant du bétail domestique, etc... Une espèce proche nommé auroch-reconstitué à été créé en croisant des bovins. Elle a été introduit dans des espaces naturels européens pour controler la végétation, la prolifération d'arbre, ce que les éleveurs se vantent de faire avec leurs troupeaux ce qui justifierait l'extermination du loup. Le bison d'Europe que l'on peut voir notamment dans le parc de Thorenc dans les Alpes maritimes. Mais aussi le cerf qui vivait originellement dans les plaines mais qui a été contraint de vivre dans les forêts pour se cacher de l'homme. On a exterminé les grands carnivores (ours, loup, linx) qui régulaient les populations d'herbivores avant la venue des chasseurs humains et qualifié des animaux de "nuisibles" selon une vision égocentriste de la nature selon laquelle celle-ci n'existe uniquement pour servir l'homme. On voudrait aussi nous convaincre que cette nature ne peut exister pérennement sans l'homme alors que c'est l'inverse.... 

Site de cette association indispensable qu'est l'ASPAS: link.

Ci-dessous Jacques Perrin s'exprime sur ce sanctuaire:

« Nous puisons nos rêves dans la nature indomptée et rebelle ». (Jacques Perrin).

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25 avril 2014 5 25 /04 /avril /2014 16:04

51MLAYtEFvL.jpgDe Patrick Mérienne et Thierry Ménard.

Un excellent guide à se procurer pour ceux qui veulent faire de superbes balades naturalistes dans mon département. Utile même à des personnes comme moi qui y ait toujours vécu et qui connaît ces randonnées car cet ouvrage m'a permis de profiter des connaissances des deux auteurs, que ce soit sur la géologie, les plantes et les animaux rencontrés sur ces chemins mais aussi sur l'histoire des ouvrages humains s'y trouvant. Ainsi j'ai pu enfin mettre un nom sur la plupart des nombreuses plantes que je n'arrivais pas à identifier en faisant ces randonnées. 

Chaque parcours est accompagnée d'une carte,  il y est indiqué son accès, la difficulté, le temps de parcours, etc... Le texte descriptif comporte des noms d'animaux, végétaux ou minéraux surlignés en jaune qui renvoient à la marge où ils sont décrient. Quelques pages pour chaque itinéraires mais celles-ci sont très riches en information et accompagnés de nombreuses et superbes photos.

Enfin je certifie que chacune de ces 15 randonnées est à faire par tous passionnés de nature se trouvant dans la région.

 

 

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19 avril 2014 6 19 /04 /avril /2014 23:51

images (5)Lorsque j'étais enfant ma mère m'avait emmené visiter la ménagerie d'un cirque, je me rappelle des éléphants névrosés se balançant au bout d'une chaîne trop courte, des animaux qui tournent en rond dans des cages exigues en plein soleil. Mais moi j'étais un enfant... Je ne comprenais pas que ces animaux souffraient ! que ces comportements étaient les signes de névrose d'animaux rendus fou par la captivité, la maltraitance. En grandissant, j'ai vu les choses sous un angle plus réaliste. Enfin, aujourd'hui j'ai en moi une rage envers ces cirques mais je ressens aussi un profond dégout envers tous ces gens qui refusent de voir la réalité pour se divertir, notamment en ce qui concerne ces "divertissements" que sont les cirques avec animaux, delphinariums, corridas, etc... Ils vont donc s'amuser de la souffrance des animaux. Car il est évident que l'on ne peut leur faire faire certains tours s'ils ne craignaient les traitements cruels effectués en coulisse. Comme surmonter la peur instinctive du feu à des fauves pour qu'ils bondissent à travers un cerceau enflammé. Ou accomplir des exhibitions qui n'ont rien de naturel telle la position assise et debout sur deux pattes à un éléphant, postures qui lui causent de grandes douleurs. Les animaux sont  là uniquement pour faire du fric ! Dans les cirques c'est une raison qui justifie toute violence sur les animaux. 

Pour ceux qui ont besoin qu'on leur ouvre les yeux, un extrait du documentaire culte "Earthling"commenté par l'acteur Joaquin Phoenix:

Des animaux qui passent 90 à 95 % de leurs vies dans des petites cages où attachés à de courts liens, libérés juste pour apprendre par la brutalité de nouveaux tours et certains soirs pour amuser les êtres humains. Ci-dessous un reportage de "Animal Defenders International". tourné en Irlande, il n'est pas traduit mais les images sont suffisamment éloquentes.

Le tabassage est si naturel pour les gens de cirque qu'ils l'ont appliqué sur ceux qui sont venu militer pour les animaux ce 8 mars à Saint-Etienne où le personnel d'un cirque à notamment violemment frappé une femme enceinte de plus de huit mois !!! Lire le témoignage d'Olivier Longeon: link. C'est à se demander s'il y a une limite à la violence des circassiens, d'ailleurs un ancien dompteur, Paul Leroyer disait en parlant du dressage: "On torture les animaux à des fins lucratives. On les dresse à lever une patte, à sauter dans un cercle. Le public applaudit une fois, deux fois, puis après il se lasse. Il faut trouver mieux chaque fois. C'est la compétition pour de l'argent, c'est l'escalade vers l'horreur." La vrai magie du cirque est de faire croire que les animaux sont heureux, qu'il existe une complicité entre le dresseur et l'animal brisé psychologiquement et physiquement. L'art de convaincre que la grimace de terreur du petit singe est un sourire, que les fauves obéissent au dresseur solitaire armé de son fouet sans avoir eux-même été à de nombreuse reprises fouetté. Comme le disait un autre dresseur du nom d'Harry Collins: "Tirer de temps à autre un petit bout de sucre de votre poche, l’offrir à grignoter : votre élève donne une excellente impression au public. Il se persuade que le sujet prend plaisir à exécuter un numéro, qu’il est câliné et dorloté par un maître du soir au matin, et qu’il aime ce maître, à en mourir. Ce sont là des trucs nécessaires pour dissimuler les cruautés du métier. Si on se doutait de celles-ci, tous nos numéros seraient interdits ".

Combien d'animaux morts lors de leur capture et de leur voyage pour les cirques ? En effet la relation d'un animal avec d'autres espèces est souvent une relation de prédation d'où une situation de stress pour l'être enfermé dans une cage qui ne sait pas se qui l'attend, comment il pourra se nourrir... S'il survit à ce stress, une vie d'angoisse et de maltraitance l'attend pour qu'il puissent nous divertir...  Combien de ces passionnés de cirque ont conscience de ces faits en regardant le spectacle ?      

Ci-dessous, l'histoire de Karen, une éléphante qui connaît l'enfer du cirque depuis 1969. Cette vidéo de PETA est aussi en Anglais mais elle est facilement compréhensible, on y voit le "bullhook", baton munit d'une pointe et d'un crochet en métal utilisé pour le dressage des éléphants.

Il est consternant de constater que les cirques échappent injustement aux lois concernant le bien être animal, comme celle régissant les conditions de détention appliqué aux zoos sur la dimension des enclos la nature de l'habitat, etc...   

Ci-après une pétition de la fondation 30 millions d'amis pour demander l'interdiction des cirques avec animaux sauvages: link. Je recommande de la signer même si je ne comprends pas pourquoi elle ne concerne que les animaux sauvages ? Les animaux domestiques utilisés sont aussi maltraités ! Une autre contre le cirque Mattéo Zavatta: link, et enfin une dernière qui concerne le Center Parks de Verneuil-sur-Avre qui n'a rien trouvé de mieux pour amuser ses clients que d'utiliser un éléphant du cirque Gruss qui doit marcher sur des rondins sous la contrainte d'une pique !: link. A savoir que dans plusieurs pays les cirques avec animaux sauvages sont interdit notamment chez nos voisins Belges depuis décembre 2013. Déjà en 2008 ce pays avait viré de leur territoire trois cirques Français pour mauvais traitements link, ben oui des cirques qui venait du pays dont le président de la république affirme qu'on y aime les animaux. Toutefois en France quelques communes les ont interdit telles: Creil dans l'oise, Bagnolet, Montreuil en Seine Saint Denis, Villeneuve-lez-Avignon, etc... A vous de manifester votre volonté d'interdire les cirques avec animaux auprès de votre maire. Même sans passer par une loi, il est possible d'arrêter ces cirques, il suffit juste qu'ils n'aient plus de spectateurs, pour cela ne pas hésiter à diffuser et montrer les nombreuses vidéos et articles existant sur internet qui révèlent l'envers du décor. Il est nécessaire que le maximum de personne comprennent que ces affiches bariolés annonçant un cirque sont des représentations de l'enfer.

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9 avril 2014 3 09 /04 /avril /2014 15:19

Alors que "RMC Découverte" diffuse le dimanche soir et le samedi matin les épisodes des "Justiciers des mers" relatant les campagnes en Antarctique de Sea Shepherd contre les baleiniers Japonais, c'est l'occasion de voir ou revoir le passionnant documentaire "Le dernier pirate" relatant une autre de ces épopés.  

2014 est la dernière année où le Japon aura souillé le sanctuaire Antarctique, voir lien ci-dessous, un article d'Armand Farrachi sur ces braconniers qui exercent aussi leur activité dans notre pays en toute impunité: link. Une nuit je moi-même tombé sur une émission d'"histoire naturelle" où un braconnier expliquait avec passion sa sinistre besogne comme si c'était une activité normale...

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4 avril 2014 5 04 /04 /avril /2014 23:04

9782263061479-copie-1.jpgD'Armelle Cottenceau et Rosenn Le Page.

Un livre de jardinage consacré aux balcons vraiment pratique composé de deux parties.

La première intitulé "Les bonnes idées pour réussir votre balcon" énumère donc comme indiqué des astuces qui permettent d'avoir un balcon à son goût.

Dans la seconde partie sont détaillés par ordre alphabétique les plantes idéales à installer sur son balcon. Pour chacune est notamment indiqué dans sa description, la difficulté à la cultiver, les autres plantes avec lesquelles l'associer et surtout les meilleures variétés pour son balcon. Les aromatiques et les légumes sont bien sûr mentionnés mais je regrette qu'il ne soit pas évoqué les mélanges de graînes qu'on peut se procurer dans le commerce et qui permettent de faire pousser entre autres ces superbes fleurs des champs. Pourtant elles sont très simples à cultiver, il suffit d'un semis direct et d'arroser, le résultat obtenu n'est jamais le même. De plus, il suffit, après la floraison, de récupérer les graînes pour faire ses propres mélanges.

Mis à part cet oubli, ce livre est une réussite, facile à utiliser. Les auteurs y ont particulièrement travaillé l'aspect pratique, les articles sont construits de façon à trouver facilement le renseignement voulu. bref un livre de jardinage qu'on à plaisir à consulter.

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28 mars 2014 5 28 /03 /mars /2014 22:24

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1797383_484895374948670_336806161_n.jpgLe grindadrap existe depuis 1584 dans les îles Féroé, il consistait à l'origine à chasser les globicéphales noirs pour des raisons de subsistance. Aujourd'hui les choses ont bien changé, ces îles ont un des niveau de vie les plus élevé au monde, de ce fait la chasse se fait parfois à l'aide de bateaux équipé de sonars, jet-skis, hélicoptère... Bref on est loin d'une pêche pour survivre, voir d'une tradition vu les moyens modernes employés qui n'ont plus rien à voir avec la pêche ancestrale originelle. Néanmoins cela reste un divertissement partagé en famille, quelle joie sur ces visages ! Cette année Sea Shepherd interviendra de nouveau après avoir été présent pendant le massacre de dauphins à Taïji et être intervenu en Antarctique pour réduire le nombre de baleines tués par les baleiniers Japonais...

Les globicéphales noirs ne sont pas les seuls cétacés à être charcuté vif lors de ces rituels barbares, voir ci-dessous la photo de cet enfant prise par son père et posté fièrement sur facebook... Ainsi l'année dernière 430 dauphins à flancs blancs furent massacrés brutalement en une seule journée !!! On poignarde aussi les hyperoodons boréaux, les marsouins communs. Il est arrivé aussi qu'on abattent des dauphins de Risso et des orques alors que c'est illégal mais pris dans une frénésie de tuer les féringiens participant au grind ne font plus de différence (source:link). 

Les îles Féroé ne font pas partie de l'Europe néanmoins elles dépendent du  Danemark qui leur versent d'importantes subventions. Mais ce pays refusent d'intervenir pour stopper cette atrocité. Qu'attendre d'autre d'un pays qui trouve normal d'autoriser des bordels avec animaux ?

En voyant ces enfants blonds à qui on enseigne la violence on ne peut s'empêcher de penser au passé,à une autre jeunesse, Hitlérienne celle-là, à qui on apprenait que répandre l'horreur sur des prétendues races inférieurs était empreint de dignité. 

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Ci-dessous un grind filmé, on peut y voir la longue et affreuse agonie de ces delphinidés confiants qui se laissent approcher de près par l'homme.

Ci-dessous François Xavier Pelletier qui ne cesse de dénoncer le grind découvre un charnier sous-marin:

Pour info: sur ces photos  les créatures qui éprouvent de la joie à massacrer des êtres sensibles sont censés être les plus intelligentes et les plus évolués de cette planète. 

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18 mars 2014 2 18 /03 /mars /2014 11:47

Shell-Manifestation-Greenpeace-photo-DaylifeLe document interne de la multinationale Schell ci-après date de 2008. Il est à étudier absolument car il anticipe un futur proche qui n'a rien d'invraisemblable: link. Depuis la publication de ce document la situation mondiale va dans le sens de ces prévisions. Néanmoins Royal Dutch Shell qui a encore réalisé le plus gros chiffre d'affaire en 2013 avec plus de 481 milliards de dollars n'utilisent pas ces énormes gains à adopter une politique responsable visant à atténuer le désastre qu'ils savent proche, leurs investissements dans des énergies renouvelables est plus une obligation afin de pouvoir continuer à faire de gigantesque bénéfices dans le futur qu'une démarche écologique. Leur but est à l'instar des autres multinationales de faire le plus de profit possible même si cela aggrave la crise.

La chute a donc commencé et d'après le graphique à la fin de ce document la période dite de "turbulence" (terme employé) commencera l'année prochaine. L'imminence de ces "turbulences", une étude récente de la NASA (link), le rapport Meadows ( Rapports Meadows. ) qui tente de prévenir les populations de la situation critique depuis 1972 ne provoquent aucun grand débat, peu d'inquiétude.... Les politiques comme l'ensemble des médias encouragent les populations à croire que seul une croissance économique et démographique infinie pourra rêgler une crise économique qui est de plus en plus aggravé par d'autre crises: écologique, climatique mais aussi la raréfaction des ressources (énergies fossiles, matières premières, ressources halieutiques, etc...) alors même que c'est cette croissance qui est responsable de ces causes.

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Avertissement.

J'écris désormais sur un nouveau blog où la publicité ne m'est pas imposé: link

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"L'homme est mon frère, certes. Le chien l'est aussi. Et le singe, et l'ours, et l'éléphant. Et l'araignée. Oui l'araignée.

Est mon frère quiconque, peut comme moi souffrir, avoir peur, aimer, mourir.

Je souffre avec tout ce qui souffre,... Avec l'enfant noir au ventre vide, avec la fiancée de Beyrouth aux jambes arrachées, avec le singe cloué sur une planche, dont on déroule les intestins "pour voir". Leurs yeux hurlent la même horreur, la même folie: la souffrance."

 

Jean Cavanna.

L'écologie a toujours une bonne presse lorsqu'elle nous exhorte à trier nos déchets, à ne pas polluer nos rivières, à ne plus utiliser de sacs en plastique et à chevaucher de bon cœur pour nos petits déplacements un vélo de ville. Mais pour peu que la critique écologique pousse l'aiguillon au-delà de la seule remise en cause de la société libérale en ses modes de gestion politique et économique, pour peu qu'elle se mette à interroger les racines culturelles de la crise environnementale, et à secouer une à une les bases institutionnelles et contractuelles sur lesquelles la société industrielle s'était construite, alors le ton change et devient bien vite celui de l'imprécation.

 

Hicham-Stéphane AFEISSA

 

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Désormais, la plus haute, la plus belle performance que devra réaliser l'humanité sera de répondre à ses besoins vitaux avec les moyens les plus simples et les plus sains. Cultiver son jardin ou s'adonner à n'importe quelle activité créatrice d'autonomie sera considéré comme un acte politique, un acte de légitime résistance à la dépendance et à l'asservissement de la personne humaine.

 

Pierre Rabhi.

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