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18 août 2012 6 18 /08 /août /2012 17:39

61E8698YZRL__SS500_.jpgDe Jules Verne.

En 1866 un mystérieux et gigantesque animal est aperçu par plusieurs navires. De l'incrédulité, on passe à l'inquiétude lorsque celui-ci s'attaque aux bateaux... On envoie donc une frégate pour intercepter ce monstre. A son bord, on été convié Pierre Aronnax, professeur d'histoire naturelle au Muséum de Paris et son fidèle domestique simplement nommé Conseil. La bête enfin trouvée, son interception échoue et voici Pierre, Conseil et le harponneur Ned Land prisonnier de ce qui s'avère être un énorme sous-marin et non pas un animal... Cette machine est commandé par le capitaine Némo, un érudit qui cache au fond de lui de profondes blessures provenant d'un mystérieux passé...

De ce moment, voici nos hommes partis pour un tour du monde sous-marin où ils vivront de nombreuses aventures, découvrant des lieux mystérieux tel l'Atlantide. Mais aussi des animaux fantastiques.

Ce roman de Jules Verne comporte lui aussi des descriptions zoologiques aberrantes dû au manque de connaissance de cette époque où notre planète recelait bien plus de mystères. Comme ce pauvre dugong blessé, un animal totalement pacifique qui attaque l'embarcation de son chasseur où surtout le paragraphe grotesque où apparaissent les cachalots.   

C'est mon ouvrage préféré de cet auteur, pour l'instant car je suis loin d'avoir lu toute ses oeuvres, les dessins sont extraordinaires, ils exacerbent l'imagination... On ne peut qu'imaginer le monde marin débordant de vie tel qu'il était à cette époque, le rêver...

Le livre idéal à lire sur la plage avec le bruit du ressac en fond...

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commentaires

N
J'ai vraiment apprécié ce livre, j'ai créé une carte avec les la trajectoire du Nautilus.<br /> http://mapaparavintemilleguassubmarinas.blogspot.com.br
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Avertissement.

J'écris désormais sur un nouveau blog où la publicité ne m'est pas imposé: link

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"L'homme est mon frère, certes. Le chien l'est aussi. Et le singe, et l'ours, et l'éléphant. Et l'araignée. Oui l'araignée.

Est mon frère quiconque, peut comme moi souffrir, avoir peur, aimer, mourir.

Je souffre avec tout ce qui souffre,... Avec l'enfant noir au ventre vide, avec la fiancée de Beyrouth aux jambes arrachées, avec le singe cloué sur une planche, dont on déroule les intestins "pour voir". Leurs yeux hurlent la même horreur, la même folie: la souffrance."

 

Jean Cavanna.

L'écologie a toujours une bonne presse lorsqu'elle nous exhorte à trier nos déchets, à ne pas polluer nos rivières, à ne plus utiliser de sacs en plastique et à chevaucher de bon cœur pour nos petits déplacements un vélo de ville. Mais pour peu que la critique écologique pousse l'aiguillon au-delà de la seule remise en cause de la société libérale en ses modes de gestion politique et économique, pour peu qu'elle se mette à interroger les racines culturelles de la crise environnementale, et à secouer une à une les bases institutionnelles et contractuelles sur lesquelles la société industrielle s'était construite, alors le ton change et devient bien vite celui de l'imprécation.

 

Hicham-Stéphane AFEISSA

 

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Désormais, la plus haute, la plus belle performance que devra réaliser l'humanité sera de répondre à ses besoins vitaux avec les moyens les plus simples et les plus sains. Cultiver son jardin ou s'adonner à n'importe quelle activité créatrice d'autonomie sera considéré comme un acte politique, un acte de légitime résistance à la dépendance et à l'asservissement de la personne humaine.

 

Pierre Rabhi.

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