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29 octobre 2013 2 29 /10 /octobre /2013 12:11

Le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) est une tentative de résumer tout ce que la science sait sur l'influence de l'homme sur le climat depuis qu'il existe des recherches sur le sujet, sa valeur scientifique est incontestable. La version finale du rapport est confirmé par tous les scientifiques et tous les gouvernements faisant partie du GIEC (la quasi totalité des pays du monde sont représentés et ont signé l'approbation de la version finale, y compris les États-Unis). Son dernier rapport rendu public ce 27 septembre est des plus effrayants mais était prévisible étant donné que chaque année qui passe voit le record de rejets carbones grandir et les forêts qui absorbent ces rejets carbones disparaître massivement et rapidement... Ce rapport précise, car certains doutent encore, que l'homme est bien le responsable de ces bouleversements climatiques.

Ci-dessous une vidéo de la nasa qui explique l'évolution des températures et des précipitations, pour avoir la traduction des sous-titres, cliquez sur le petit rectangle sous-titre qui apparaît en bas à droite de la vidéo lors de la lecture, sélectionnez traduire les sous-titres en cliquant sur la flèche à droite du mot anglais puis choisissez la langue voulue.

Une page du centre de recherche de climatologie qui permet de se rendre compte de l'évolution du climat en cliquant sur la carte dans la partie du monde souhaité :

http://climatologie.u-bourgogne.fr/ressources/appli-clim.html

Malgré des catastrophes naturelles dû à la météorologie qui sont en constante augmentation à l'étranger comme en France, il existe toujours des climato-sceptiques. Parmi eux, il y a ceux qui sont grassement payé pour dénigrer le changement climatique, notamment par la trop méconnu Koch Industries voir les articles de Greenpeace et du "Monde" ci-contre: http://www.greenpeace.org/france/PageFiles/266537/Kock-industries.pdf.

 http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2012/02/15/fuites-comment-le-lobby-des-climato-sceptiques-sorganise/

Argent gagné aussi par des livres niant le réchauffement qui se vendent très bien, ceux-ci étant achetés par une autre catégorie de climato-sceptique qui eux rejettent avec force l'existence de tout ce qui pourrait menacer leur confort de consommateur à oeillères, de tout ce qui induirait le moindre effort. Enfin il y a les adeptes de la théorie du complot qui malgré l'absence de preuves solides étayant leur croyance s'imaginent avec fierté faire partie d'une élite au courant d'une machination. Quoiqu'il en soit, ils sont un soutien très apprécié de puissants lobbies qui désireraient continuer à polluer tranquillement l'atmosphère.

Pour terminer voici ci-dessous une lettre de l'"Huffington Post" aux climato-sceptiques

http://quebec.huffingtonpost.ca/karel-mayrand/lettre-aux-climato-sceptiques_b_3895842.html

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Avertissement.

J'écris désormais sur un nouveau blog où la publicité ne m'est pas imposé: link

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"L'homme est mon frère, certes. Le chien l'est aussi. Et le singe, et l'ours, et l'éléphant. Et l'araignée. Oui l'araignée.

Est mon frère quiconque, peut comme moi souffrir, avoir peur, aimer, mourir.

Je souffre avec tout ce qui souffre,... Avec l'enfant noir au ventre vide, avec la fiancée de Beyrouth aux jambes arrachées, avec le singe cloué sur une planche, dont on déroule les intestins "pour voir". Leurs yeux hurlent la même horreur, la même folie: la souffrance."

 

Jean Cavanna.

L'écologie a toujours une bonne presse lorsqu'elle nous exhorte à trier nos déchets, à ne pas polluer nos rivières, à ne plus utiliser de sacs en plastique et à chevaucher de bon cœur pour nos petits déplacements un vélo de ville. Mais pour peu que la critique écologique pousse l'aiguillon au-delà de la seule remise en cause de la société libérale en ses modes de gestion politique et économique, pour peu qu'elle se mette à interroger les racines culturelles de la crise environnementale, et à secouer une à une les bases institutionnelles et contractuelles sur lesquelles la société industrielle s'était construite, alors le ton change et devient bien vite celui de l'imprécation.

 

Hicham-Stéphane AFEISSA

 

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Désormais, la plus haute, la plus belle performance que devra réaliser l'humanité sera de répondre à ses besoins vitaux avec les moyens les plus simples et les plus sains. Cultiver son jardin ou s'adonner à n'importe quelle activité créatrice d'autonomie sera considéré comme un acte politique, un acte de légitime résistance à la dépendance et à l'asservissement de la personne humaine.

 

Pierre Rabhi.

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