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30 mai 2012 3 30 /05 /mai /2012 13:27

Suite à l'article précédent (plaidoyer pour les mauvaises herbes), je tenais à présenter cette vidéo où ce jardinier génial qu'est Gilles Clément présente son jardin dans lequelle les "mauvaises herbes" expriment leurs magnificences.

Une deuxième vidéo où il fait l'éloge de la taupe autre peste de soi-disant "jardiniers". ceux qui prennent le temps d'observer la nature auront observé que rien n'y ait fait par hasard et que tout être ou comportement à son utilité. même les pierres ont une fonction dans le jardin, dans le livre de Michel Courboulex que j'ai chroniqué (bien jardiner dans les Alpes maritimes), il y était expliqué ses avantages notamment comment elles structurent le sol mais aussi le fait qu'après avoir emmagasiné la chaleur durant la journée, elles restituaient celle-ci aux racines la nuit. De plus lesdites racines contournent facilement ces pierres qui ne gênent nullement leurs développements. 

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"L'homme est mon frère, certes. Le chien l'est aussi. Et le singe, et l'ours, et l'éléphant. Et l'araignée. Oui l'araignée.

Est mon frère quiconque, peut comme moi souffrir, avoir peur, aimer, mourir.

Je souffre avec tout ce qui souffre,... Avec l'enfant noir au ventre vide, avec la fiancée de Beyrouth aux jambes arrachées, avec le singe cloué sur une planche, dont on déroule les intestins "pour voir". Leurs yeux hurlent la même horreur, la même folie: la souffrance."

 

Jean Cavanna.

L'écologie a toujours une bonne presse lorsqu'elle nous exhorte à trier nos déchets, à ne pas polluer nos rivières, à ne plus utiliser de sacs en plastique et à chevaucher de bon cœur pour nos petits déplacements un vélo de ville. Mais pour peu que la critique écologique pousse l'aiguillon au-delà de la seule remise en cause de la société libérale en ses modes de gestion politique et économique, pour peu qu'elle se mette à interroger les racines culturelles de la crise environnementale, et à secouer une à une les bases institutionnelles et contractuelles sur lesquelles la société industrielle s'était construite, alors le ton change et devient bien vite celui de l'imprécation.

 

Hicham-Stéphane AFEISSA

 

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Désormais, la plus haute, la plus belle performance que devra réaliser l'humanité sera de répondre à ses besoins vitaux avec les moyens les plus simples et les plus sains. Cultiver son jardin ou s'adonner à n'importe quelle activité créatrice d'autonomie sera considéré comme un acte politique, un acte de légitime résistance à la dépendance et à l'asservissement de la personne humaine.

 

Pierre Rabhi.

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