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1 mars 2014 6 01 /03 /mars /2014 22:06

Lorsque la nature n'a pas été saccagé par l'homme, elle est un système qui fonctionne parfaitement. Est-il besoin de rappeler qu'avant l'arrivée de l'homo sapiens notre planète était déjà vieille de quelques milliards d'années et que durant tout ce temps tout allait bien dans les équilibres naturels ? Perfection dont chaque élément participe à la cohérence de l'ensemble, fruit d'une longue évolution que le soi-disant "génie humain" surtout efficace pour créer des inventions destructrices et des moyens égocentrique pour améliorer son confort au détriment des autres espèces ne pourra jamais égaler.

L'homme qui découvre encore aujourd'hui avec étonnement l'extrême complexité de ces équilibres naturels.

Ainsi le loup est indispensable à son milieu. J'avais appris après avoir visionné un reportage se déroulant aux Etats-Unis que sa présence était bénéfique au renouvellement des arbres. En effet ce splendide animal régule et chasse les cervidés. Obligeant ceux-ci à migrer dans différents endroits laissant ainsi le temps aux arbres de se développer suffisamment pour ne plus risquer d'être dévoré par ces herbivores. 

Dans la vidéo ci-dessous on comprend que son utilité pour son biotope va bien plus loin. Ainsi cet animal-martyr de l'homme participe même indirectement à la bonne formation des rivières!

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J'écris désormais sur un nouveau blog où la publicité ne m'est pas imposé: link

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"L'homme est mon frère, certes. Le chien l'est aussi. Et le singe, et l'ours, et l'éléphant. Et l'araignée. Oui l'araignée.

Est mon frère quiconque, peut comme moi souffrir, avoir peur, aimer, mourir.

Je souffre avec tout ce qui souffre,... Avec l'enfant noir au ventre vide, avec la fiancée de Beyrouth aux jambes arrachées, avec le singe cloué sur une planche, dont on déroule les intestins "pour voir". Leurs yeux hurlent la même horreur, la même folie: la souffrance."

 

Jean Cavanna.

L'écologie a toujours une bonne presse lorsqu'elle nous exhorte à trier nos déchets, à ne pas polluer nos rivières, à ne plus utiliser de sacs en plastique et à chevaucher de bon cœur pour nos petits déplacements un vélo de ville. Mais pour peu que la critique écologique pousse l'aiguillon au-delà de la seule remise en cause de la société libérale en ses modes de gestion politique et économique, pour peu qu'elle se mette à interroger les racines culturelles de la crise environnementale, et à secouer une à une les bases institutionnelles et contractuelles sur lesquelles la société industrielle s'était construite, alors le ton change et devient bien vite celui de l'imprécation.

 

Hicham-Stéphane AFEISSA

 

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Désormais, la plus haute, la plus belle performance que devra réaliser l'humanité sera de répondre à ses besoins vitaux avec les moyens les plus simples et les plus sains. Cultiver son jardin ou s'adonner à n'importe quelle activité créatrice d'autonomie sera considéré comme un acte politique, un acte de légitime résistance à la dépendance et à l'asservissement de la personne humaine.

 

Pierre Rabhi.

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